Nous partîmes quarante et ployant sous l’effort
Gravîmes en peinant le col de la Fageolle
Mettant tout notre entrain pour atteindre le port
Malgré des pieds gelés et des bras qui flageollent.
Arrivés à Bastia, la Corse et son soleil
Nous firent oublier une nuit sans sommeil.
Un gîte confortable, une auberge accueillante,
Il n’en fallait pas plus pour combler nos attentes.
L’amitié fit le reste et passa la semaine
On oublia le temps, nos soucis et nos peines
Au rythme des ballades, qu’avec un grand bonheur
Avaient paramétré les organisateurs.
Que Christian et José soient ici remerciés
D’avoir su nous ravir et nous faire partager
Des moments que chacun ne pourra oublier.
Que le blogueur moqueur puisse être gracié !
Jacques